C’est après 1889 et la conférence internationale de Washington que s’engage le débat sur l’unification et la standardisation des systèmes de balisage.
A partir de 1923, les problèmes de signalisation maritime vont sortir des congrès de navigation, auxquels ils étaient rattachés et les ingénieurs des phares et balises organisent des réunions informelles quadriennales qui débouchent sur la création de l’Association Internationale de Signalisation Maritime (AISM) en 1957.
C’est à l’occasion de la réunion quadriennale des chefs de service de signalisation maritime de 1933 que André de Rouville fait réaliser une bibliographie imposante de 1253 références sur 159 pages par Neyrod, le chef de bureau de la direction des Phares et Balises de Paris, bibliographie qu’il arrête à la date du 31 décembre 1932.
Ce document comporte 22 chapitres. Le parti pris a été de les regrouper en 6 entrées, plus 1 figurant les références trouvées dans les Annales des Ponts.
Partie A : Ouvrages généraux et administratifs
Partie B : Phares et Milieux Marins
Partie C : Construction
Partie D : Techniques d’éclairage
Partie E : Signaux sonores et radionavigation
Partie F : Balisage et bateaux
Partie G : les phares dans les Annales des Ponts et Chaussées
Certaines notices renvoient vers des bibliothèques numériques offrant la consultation en ligne des documents signalés. D'autres pointent vers les imprimés numérisés par le fonds ancien de la bibliothèque de l'École des ponts et chaussées.